Religious orders in the Forêt d'Orient
Religious and military institutions in the Middle age in Forêt d'Orient
The forest : source of the religious life
In order to know the heritage better, have a look around in the churches and abbeys located all around the Nature Park.
eg : Cloister in Basse-Fontaine Abbey (forest in Brienne-le-Vieille)
Orders
An abbey is a monastery where the highest priest is self-governed. The monks community follow daily rules to live their faith.
Montiéramey abbey, located along the Barse river since 837, is ruled by Saint Benoît.
In 1112, three priests settle near Trannes and follow Saint Augustin precepts : the Beaulieu canon community.
A third ordrer, following the Cistercian rules settles in Buxy forest, near Lusigny (now Larivour)
Religious community without an abbey are called priors, they were found in Saint Léger, Brienne and Rosnay. Robert de Molesme order is present in Radonvilliers.
St Bernard de Clairvaux, fondeur of Larivour Abbey (wooden statue, Radonvilliers church)
Templars, Hospitallers et Teutonics
Templars seal
Lorsque nous cheminons à travers la Forêt d'Orient, il apparaît difficile de ne pas évoquer le nom qui unit l'espace végétal et l'ordre militaire ; il s'agit du lac du Temple.
Les Templiers donnent à une forêt un nom en toute logique car ayant été créés par un chevalier issu du diocèse ; Hugues de Payns en 1129 par le concile de Troyes, ces Templiers se développent dans une contrée vide d'hommes mais riche au demeurant.
Ayant la mission de combattre pour la foi chrétienne, ces militaires installent à Géraudot, puis à Rosnay, une commanderie nécessaire à leur périple, une grange à Villiers le Bois indispensable pour la transformation de la matière, notamment le fer, source de puissance et de richesse à l'époque féodale.
Enfin terminons notre pérégrination par Beauvoir qui vit s'épanouir l'ordre Teutonique grâce à l'impulsion des comtes de Brienne dès 1192 et à Géraudot où s'installèrent les Hospitaliers connus aujourd'hui sous le nom de chevaliers de Malte.
Original text from Abel Lamauvinière, conseiller scientifique du PNRFO © PNRFO